Les rénovations de transition énergétique prévoient des économies d’énergie de 60 à 75% après travaux. Cependant, pour les bâtiments locatifs, les économies réelles de la première vague de rénovations de haut standard énergétique, avec ou sans label, n’atteignent qu’à peine 30 à 40%. Ce gap entre les performances promises sur calcul et les performances réelles n’est pas une fatalité. Il est dû principalement à une mauvaise maitrise des réglages des installations avec les conditions d’utilisation réelles qu’entraine un comportement inadéquat des utilisateurs. Ce cours fournit aux participants une bonne compréhension des causes des dérives pour pouvoir les anticiper dans leurs projets et les corriger lors du suivi après rénovation.